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GRANDE(S) DIJONNIAISERIE(S) & Cie(s)
31 décembre 2012

"MORTIFERES" OU " OMBELIFERES"

1- VERSION NEGATIVE:

La cupidité alliée à la laideur fait un retour au centre-ville sous couvert d'un financement trammement exagéré:

Le cynique et antipathique Didier M. semble se  venger de sa ville en y "installant" de bien tristes choses...

-Un vrai arbre, il eut fallu en lieu et place ce truc, de cette fumisterie commanditée et rétrocommissionnée.

En effet, quel montage et jonglage financier venant du t1+t2 a-t-il permis l'édification l'édification dispen-

dieuse de ces trois machins? Ce sinistre individu et ses complices venant laisser leurs empreintes

immaculées, mais pas pour longtemps car, malgré les caméras bien placées, le peuple furieux

viendra leur donner quelques couleurs bien méritées. Et deux autres hideusités artificielles si-

gnées Gloria F. et Bertrand L. : copinages pour "quelques dizaines de milliers d'euros"

(pièce?) sur quatre millions(!) sélectionnés (cooptés!) par le funeste duo Douroux-

Patriat qui sévit ici et alentours depuis plus de trente déjà... Les Déchets en sur-

sis produits sont nombreux à l'exemple du multi-gibet de France 3 et des

zeuvres du campus universitaire. En d'autres temps, l'aluminium du rond-

point de Talant, les ferrailles de Chevigny, le serpentin de pavés-gou-

dron de la place Bouhey et les fresques lassantes monopolitaires

de feu Dominique M. à Dijon, entre autres... UN GACHIS DU AU

SEUL FAIT DU PRINCE ET DE SA COUR AU MEPRIS DES

CITOYEN-NE-S ECOEURE-E-S... (Voir le tag "ART CON-

TEMPORAIN" même site, prévision d'une catastrophe

annoncée, celle de la mafiart et ses thuriféraires.

2- VERSION POSITIVE:

Le moulage du tronc (de marronnier?) que le subtil Didier Marcel a installé à l'angle des rues du Château et Liberté

témoigne d'une grande sensibilité. Les esprits chagrins auront préféré un vrai, tel le chêne de Grangier, ou une colonne

d'esprit Morris bien utile au vu de la demande et de l'usage des murs environnant... mais rien n'est perdu un moteur entrai-

ne déjà la chôse. Deux petits sapins que les perverti-e-s n'ont pas tardé d'associer à un ensemble de type lacano-freudiens.

Quand à Gloria Friedman, c'est l'association nature-culture masquant au sortir de la Fondation Nationale d'Action Culturelle les

dites-pudenda de l'airaine sculpture faussement attribuée à l'époux de Sophie. L'ONF éventuelle dépositaire de l'oeuvre foliaire

est là pour nous rappeler la "Socialisation de la Nature chère à Philippe Saint Marc" dont "L'Economie Barbare" reste brûlante d'ac-

tualité. Reste l'indémodable et pérene Fontaine "Jeunesse" de Max. Blondat, installée en 1909, remise en eau (calcaire! Attention les

pieds, les enfants! vu que contrairement aux autres versions les batraciennes ne crachent point...). Ne manquent donc que des orangers

dans l'hémicycle nicotinien et des bancs devant les Galaf's, la restauration de la pendule mal assise et de belles corbeilles à détriti. Ouistiti!!

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